Je ne connaissais cet immense artiste qu' après avoir vu deux expositions l'une en 2005/2006 au Musée Paul Dini de Ville Franche sur Saône, l'autre, plus récemment, dans la prestigieuse galerie Claude Bernard.
Pas de critique, bien sûr, seulement deux textes de Jacques Truphémus:
Autoportrait, 2002 Huile sur toile 130x97 cm |
Dans l'acte de copier, dans un musée, une toile qui vous attire particulièrement, à condition de ne pas rechercher une quelconque et stérile imitation, on parvient assez vite à sentir la nécessité qui préside à sa conception, à retrouver la fraîcheur première de l'émotion, s'émerveillant de la justesse des moyens d'expressions.
Le sentiment d'avoir accès à l'intelligence secrète du peintre ... à sa qualité d'âme... C'est une communication intime qui s'établit. C'est surtout une grande leçon d'humilité.
Il y a une forme de réflexion propre au peintre qui ne peut se faire que dans le travail et le pinceau à la main.L'essentiel ne peut se dire autrement.
(2005)
Fenêtre en Cévennes, 2003 Huile sur toile 116x81 cm |
2002
Le jabot blanc, harmonieorange et ocre 1998 Huile sur toile 90x90 cm |
Les docments photographiques sont extraits du catalogue Jacques TRUPHEMUS , un peintre de l'intime paru suite à l'exposition de ses travaux au musée Paul Dini;du 16/09/2005 au 19/03/2006.
Merci à Alain Paire de m'avoir signalé sur les réseaux sociaux, l'annonce de cette disparition.
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